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Courir autrement, courir pour une bonne cause

Course Fun : SoMad

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On éduque bien les chiens

Coup de gueule concernant le comportement de certains coureurs

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mercredi 28 septembre 2011

Paris Versailles 2011 : 4.Epilogue de la course

L'euphorie de la course s'est bien vite dissipée, faisant ensuite rapidement place à une légère fatigue, la distance inhabituellement longue parcourue sur cette course, les a quelque peu émoussé. 
Mais elles gardent malgré tout le sourire, et, l'ambiance de fin de course, le soleil radieux participèrent également à la fête.
 
Mais cette journée ne s'est pas arrêtée à cette seule course.
Après la course, depuis la ville de Versailles, elles marchèrent encore quelques kilomètres en vue de rejoindre la ville de La Celle St Cloud, une petite marche tranquille, histoire de se détendre un peu les semelles.
 
Dans l'après midi, elles passèrent une agréable après midi de détente dans un parc (voir photo) et à l'occasion des Virades de l'Espoir, organisées afin de lutter contre la mucoviscidose, elles eurent également l'opportunité de voir de très près de splendides voitures telles que des Ferrari, Lotus, Porsche et d'autres bolides inconnus.
 
 
 
...Les conversations se sont désormais arrêtées, le silence s'est installé dans la chambre. J'entends désormais la respiration lente et profonde des Vibrams endormies.

Elles ont passée une bien belle journée, et en fermant doucement la porte de leur chambre, j'imagine alors leur sourire illuminant leur visage alors qu'elles rêvent aux évènements de la journée.

Paris Versailles 2011 : 3. L'arrivée

Oublié l'appréhension de la distance, les kilomètres se sont enchaînés sans encombre. L'avenue de Paris accueille avec plaisir les Vibrams qui sentent alors que l'arrivée est proche.
Fini les sous-bois et les zones d'ombre rafraîchissantes. Elles avancent désormais en plein soleil, mais ne sont guère gênées. Les entraînements en Martinique ont vraiment été bénéfiques sur ce point.
 
Le rythme ne baisse pas, les Vibrams se regardent l'une l'autre, s'encourageant ainsi du regard. La fatigue est bien présente mais elles savent que l'arrivée est proche alors elles poursuivent leur effort.
Le revêtement ne représentant aucune difficulté, elles regardent au loin, scrutant l'horizon à la recherche des arches de l'arrivée. 
Elles durent faire un gros travail de patience car les minutes s'égrénaient, la fatigue se faisait grandissante et toujours rien à l'horizon.
Un bref coup d'oeil, l'une vers l'autre, elles se soutiennent moralement dans l'effort, elles ne veulent rien lacher, mais cette portion est longue et les mets à rude épreuve.
 
Durant quelques brefs instants, la présence de photographes, leur fera penser à autre chose et les incitera à paraître sous leur meilleur jour. Elles veulent faire bonne impression pour la photo souvenir.
  
Un kilomètre à parcourir, elles savent pourtant ce que cette distance représente, mais le temps semble comme figé, elles avancent pourtant mais toujours pas d'arrivée en vue. Dès qu'elles sentent que l'allure faiblit, elles essayent de relancer mais l'absence de repère visuel entame quelque peu le moral.
Puis, enfin, elles sont visibles, ces arches tant attendues, annonciatrices de l'arrivée tant souhaitée.
Elles ont désormais le sourire, l'euphorie de l'arrivée les gagne, elles ont envie d'accélérer mais elles se rendent bien vite à l'évidence, elles n'ont pas suffisamment d'énergie, l'accélération ne sera donc pas pour tout de suite.
 
Les arches initialement lointaines, sont désormais à portée de semelles, l'euphorie est maintenant à son comble, la phase d'accélération est désormais lancée. Elles donnent tout, elles sont fatiguées mais malgré tout elles veulent se faire plaisir et éprouver cette griserie de la vitesse, du vent qui soufle dans les languettes, et surtout, surtout, connaître enfin cette immense satisfaction ressentie lors du franchissement de la ligne d'arrivée.
 
La vitesse et la poussée ne sont pas aussi puissantes que ce qu'elles auraient souhaité mais l'accélération est présente malgré tout.
Dernier mètres, dernières foulées, l'arrivée en ligne de mire, le souffle est court, mais que cette sensation est agréable, sentir ainsi que l'on touche au but, que l'on a passé ces quelques mois afin de vivre et de ressentir ces trop brefs instants.
 
L'arrivée est franchie avec une immense joie, l'euphorie est à son paroxysme. Elles sont fières et heureuses de l'avoir fait, d'avoir parcouru ces 16km. Et surtout, d'avoir enfin ressenti cette grande satisfaction que d'avoir couru sa 1° course.

Paris Versailles 2011 : 2. La course

A l'annonce du départ, alors qu'elles avançaient dans le sas de départ, un sentiment oppressant les envahit alors, elles n'étaient guère habituées à se sentir ainsi entourées d'une telle foule. 
Et, elles se serraient l'une contre l'autre afin de ressentir le doux contact rassurant d'une personne connue.
 
Une fois passée la ligne du départ, ce fut alors la grande libération. Plus de sentiment oppressant, sentir enfin le grand air et surtout enfin se faire plaisir.
 
Des coureurs à gauche, à droite, à perte de vue ! Des coureurs, tous unis vers le même but, se faire plaisir durant cette course. Quelle allégresse, quelle joie ainsi éprouvée, elles avaient envie de foncer, d'accélérer, de sentir plus encore ce doux vent qui les enveloppait.
 
Mais la prudence est de mise car la route est longue et elles acceptent bon gré mal gré de ralentir quelque peu. Mais pas autant qu'elles auraient dû car le plaisir est trop grand.
 
Les premiers kilomètres défilent tranquillement, les Vibrams se font vraiment plaisir, avoir tout l'espace pour soi, la route leur appartient. Elles déambulent fièrement au milieu de la route, et s'amusent à courir sur la bande blanche. Eh oui, petit jeu amusant et sensation particulière de courir ainsi sur cette ligne symbolisant si bien cet espace réservé aux voitures, qu'elles s'approprient le temps d'une course.
  
Alors que le rythme de croisière est atteint, elles voient non loin d'elles, des amies croisées dans le sas, des "New Balance qui courent" ou Running NB ;-) et des Brooks, elles discutent alors quelques instants. Belle ambiance, tout le monde a le sourire. Mais désirant conserver le même rythme, les vibrams décident alors de partir devant et de laisser ses amies poursuivre tranquillement leur discussion. Clic-clac, une petite photo souvenir avant de s'éloigner ! (voir photo)

Nouvelle découverte d'une des caractéristiques des courses, les ravitaillements.
Des fruits et de l'eau à profusion. Des bénévoles souriants et qui encouragent les coureurs. Même s'ils restent derrière leur tables, on sent bien qu'ils participent également à la fête. Les mercis fusent de la part des coureurs, car cela fait vraiment du bien d'être ainsi encouragé.
Novices et appliquées, elles s'arrêtent près d'une poubelle peu après le ravitaillement afin de boire tranquillement et de se restaurer quelque peu car il faut prendre quelques forces car le plus dur est à venir.
   
Vient ensuite la 1° difficulté, la fameuse cote des gardes. Mais les Vibrams ne sont guères impressionnées. Elles sont là pour se faire plaisir et tant que l'énergie est présente, elles comptent bien contourner les épreuves en mettant en avant le coté ludique de la course.
Alors comment rendre une cote amusante ? Tout simplement en se fredonnant un petit air dans la tête et en trotinnant en rythme. Et la longue cote est ainsi passée sans problème particulier, le soufle un peu court mais sans ralentissement notable.

La partie en sous-bois fut, pour les Vibrams, un moment d'intense concentration et de sérieux relatif. En essayant de conserver leur rythme de croisière, elles scrutaient le terrain, évaluant ainsi la taille des petites pierres, les aspérités et les bogues de châtaignes disséminées sur le sol.
Guère de temps à attribuer à l'environnement et à l'ambiance de course. La concentration étant alors maximale.

La difficulté suivante fut l'enchaînement de belles descentes. A ce moment, léger changement d'allure, un petit ralentissement a été instauré afin de rester maître de sa vitesse et surtout d'éviter un petit emballement qui aurait pour conséquence d'agrandir la foulée, augmentant ainsi le risque d'attaquer le sol avec le talon.
Dur de s'évertuer à ralentir ou du moins à ne pas accélérer, mais il faut à tout prix éviter les chocs trop importants.

Paris Versailles 2011 : 1. En attendant le départ

Je vous livre ici, le compte rendu de la course du Paris-Versailles de dimanche dernier, et qui se fera d'un point de vue quelque peu différent...
 

Dimanche soir, après le Paris Versailles, mes Vibrams étaient encore toutes excitées de la journée qu'elles venaient de passer. 
Alors que je venais de les mettre au lit et d'éteindre leur chambre, je les entendais encore discuter entre elles et se remémorer les évênements du jour.
Je restai un moment près de la porte légèrement entre-baillée et je les écoutais ainsi le sourire aux lèvres, content de leur avoir fait passé une belle et agréable journée qui j'en suis sûr restera longtemps dans leur mémoire.
 
Il est vrai, qu'une fois n'est pas coutume, la journée avait commencé particulièrement tôt pour elles. Levées à 7h, elles émergeaient doucement de leur léthargie en demandant les raisons d'un réveil si matinal.
Une course ? dirent-elles en coeur toutes étonnées. Un sentiment de fierté et une légère appréhension les envahit alors. Elles allaient enfin faire comme les grands. Faire une course pour de vrai !
Fini les petits entraînements, désormais, cela serait du sérieux.
  
Une fois le petit déjeuner et la douche prise, elles se préparèrent tranquillement sans pression aucune, comme si elles avaient toujours fait cela. Répartition des tâches et des responsabilités, l'une en charge de la puce de la course alors que l'autre était en charge du "foot pod".
  
Une fois parées, direction le métro pour se rendre sur le départ de la course. 
  
Journée des premières, elles prenaient le métro pour la 1° fois.
Tellement habituées aux grands espaces, elles n'appréciaient guère de devoir ainsi évoluer dans cette atmosphère confinée. Mais pas le choix, elles savaient que ce n'était qu'un petit moment pas vraiment agréable à surmonter et qu'après cela, viendrait alors la grande surprise.
  
Sortie du métro à la station Trocadéro, et une fois enfin dehors, elles étaient alors plus à leur aise. Le doux air du matin leur faisait du bien. Puis, une fois sur la place des droits de l'homme, elles virent s'ériger devant elles, la Tour Eiffel qu'elles n'avaient plus revu depuis ce fameux jour où pour la 1° fois, elles avaient foulées le sol du champ de mars.
Sur le lieu même où elles avaient connues leurs premières sensations, elles allaient, quelques mois après, y effectuer leur 1° course !

Différents sentiments les envahissaient.
- De la joie d'effectuer une course, qui serait en fait, LEUR course.
- De l'appréhension, car cette notion de distance de 16km leur était totalement inconnue. Elles n'avaient jamais parcouru une telle distance en une seule fois. Et, n'avaient donc aucune idée de l'effort que cela pouvait représenter.
- De l'euphorie, car elles étaient gagnées à leur tour par cette douce ambiance festive qui régnait aux abords de la ligne du départ.
  
Habituées à croiser des chaussures à double, triples...enfin à semelle très épaisse, elles eurent l'agréable surprise de rencontrer une de leur lointaine cousines minimalistes, des huaraches (voir photo). Elles n'étaient "plus seules au monde" !
Quel plaisir que d'échanger et de partager ainsi les mêmes affinités. Elles étaient aux anges de ne plus être, pour une fois, obligées de lever la tête pour s'adresser à d'autres.

jeudi 22 septembre 2011

Poursuite des vibrameries urbaines

Nos vacances ne sont désormais qu'un lointain souvenir et mes séances tropicales d’entraînement en Vibram ont laissé la place à des séances de nouveau urbaines.
 
Poursuivant l’alternance de marche et de course à pied chaussé de mes VFF, j’ai atteint un palier sur lequel j’ai stagné durant plusieurs semaines. 
Impossible pour moi de dépasser les 7 km sans avoir de tiraillements aux mollets. Sensations débutant le jour même de l’entraînement et se poursuivant plusieurs jours durant.

Et c’est à l’occasion de la publication d’un article sur le site de la Runnosphère que j’ai reçu la réponse à ma stagnation!


A force d’entendre et lire que le talon ne devait pas « taper » le sol durant les foulées, j’avais « résolu» le problème en ne posant pratiquement plus le talon au sol. Et, de ce fait, j’étais constamment sur l’avant du pied et forcément mes mollets étaient grandement mis à contribution, avec de la pratique, ils ont appris à fournir un effort durant 7 km avant de me faire comprendre gentiment qu’il était temps d'arrêter de jouer à la ballerine ! 
  
Comme je le disais ici, j’ai appris à écouter mon corps et à prendre en compte ses remarques. Donc, avec le peu de pratique dont je dispose en minimalisme, j’arrive désormais à savoir quand il est temps de stopper mon effort pour ne pas sentir des tiraillements aux mollets durant plusieurs jours.

Après avoir exposé ma technique de course, CourirPiedsNus, un grand barefooteur me donna, comme toujours des conseils avisés. En fait, j’avais tout faux (bon d’accord, pas complètement mais tout de même !).

J’avais selon moi tellement focalisé sur le talon que je ne le posais pratiquement plus. Grave erreur !!

La technique est d’attaquer le sol avec l’avant du pied puis de poser le talon afin de s’en servir comme d’un ressort. Merci pour cette image car à chacune de mes foulées, je «visualise » et j’imagine le ressort qui est en moi. ;-)

Et merci également aux autres personnes pour les conseils laissés dans les commentaires.


J’ai ensuite appliqué ces bons conseils, et, même si les mauvaises habitudes, pourtant si rapides à acquérir, ont quelque peu du mal à disparaître, j’ai pu constater les bienfaits de cette méthode car quasiment pas de tiraillements survenaient les jours suivants.

J’arrive désormais à la fin de ma préparation pour le Paris-Versailles, et je suis encore bien loin d’avoir parcouru une distance équivalente sur une seule sortie. Mais l’abeille est précautionneuse, et j’ai préféré continuer à ne m’entraîner qu’une fois par semaine sans chercher à «rattraper » le retard sur ma préparation.
Je n’ai donc couru que 10 fois en Vibram, parcourant ainsi un total de 54km, volume d’entraînement vraiment peu élevé et insuffisant pour préparer au mieux une course de 16km. 

Mon but premier aura été de m’amener jusqu’au jour de la course sans blessure et avec de bonnes sensations.
  
Donc, le jour J, je passerai en mode « gestion de course » en tâchant de ne pas trop m’emporter afin d’être en mesure de couvrir la distance et surtout de bien me faire plaisir.

mercredi 21 septembre 2011

Sortie Runnosphère : 2° Edition

Dimanche dernier avait lieu la 2° sortie Runnosphère, toujours initiée et organisée par nos amis versaillais Shuseth et Noostromo.
 
Shuseth, malheureusement blessé, sera le photographe officiel de cette sortie. Et Noostromo, notre chef d’orchestre, qui se fera une grande joie de nous diriger dans son immense aire de jeu, qu’il connaît parfaitement.
 
Pour cette seconde édition, je m’apprêtais à retrouver des visages familiers. Et ce fut, comme toujours avec un grand plaisir, que Running Newbie, Sydoky, Christian, Greg, Julien, Noostromo, Shuseth et moi-même, nous nous sommes retrouvés. 
Sydoky et Christian sont venus en vélo et Julien, est venu en courant, de vrais sportifs donc ! ;-)
 
Après dépose des affaires, nous sommes partis « gambader » dans la forêt, et, le « petit parisien » que je suis a été content de courir ainsi en forêt vallonnée, là où mon dénivelé se compte en montées et descentes de trottoirs, j’ai apprécié, me retrouver ainsi dans ce cadre de nature. 
J’ai tout de même peiné par moments, car je suis parti sans ravitaillement ni boisson !!
Et du coup, dans certaines montées, là où tout le monde passait en courant tranquillement, me faisant presque penser à des bouquetins s’amusant sur des sentiers escarpés, je m’appliquais à monter en marchant rapidement, je me faisais ainsi plutôt l’effet du "sherpa" croulant sous sa charge.
 
Dans la série, faites ce que je dis, pas ce que je fait !! Ce n’est clairement pas le bon exemple à suivre. Et cela me servira de leçon.

 
Le parcours en grande partie en sous-bois, comportait également  des portions en terrain dégagé où nous avons pu voir quelques chevaux regardant d'un air distrait les sportifs du dimanche. Je ne sais plus quelle heure il était, mais il devait être probablement moins 20....
 
J’ai tout de même eu le temps de penser aux autres, ceux malheureusement blessés et ceux effectuant leurs courses du jour. Car, le matin, j’avais croisé bon nombre de coureurs dans les transports, alors qu’ils se dirigeaient vers le départ de la course des chasseurs de temps. Et cela m’avait une drôle d’impression, d’être ainsi « de l’autre coté de la barrière » et de les regarder en simple spectateur sans prendre part à cette course. Mais qu’importe, car moi aussi, j’allais me faire plaisir au cours de cette 2° sortie Runnosphère.

Je ne résiste pas au plaisir de vous faire un petit flashback sur la 1° édition de la Sortie Runnosphère :
  1. Sortie Runnosphère : In Iphone, We Trust 
  2. Sortie Runnosphère : Convivialité, le maitre mot  
  3. Sortie Runnosphère : Les photos...

Pour la galerie photo de cette seconde édition, c'est ici.

Cette sortie fut bien sûr bien agréable, et ce fut un vrai plaisir de découvrir cette forêt et de partager ces instants avec d’autres passionnés.

lundi 12 septembre 2011

Nouveau Compteur : Budget Courses

Sur la partie droite du blog, un nouveau compteur a pris place.
 
Il indique la somme dépensée pour les inscriptions aux courses effectuées durant cette année.
A chaque nouvelle course, ce compteur sera réactualisé.

Mais pourquoi avoir mis en place ce compteur ?
Simplement parce que je me suis toujours demandé, quel budget était alloué aux courses. Mais à chaque fois, j'éludais la question en me disant que je me faisais plaisir. Désormais la vérité s'affichera au grand jour.
  
En fin de saison, un bilan sera alors effectué. Ca promet...

jeudi 8 septembre 2011

Picasa : Google m'a fait un signe...

Alors que j'évoquais déjà ici une bien étrange maladie, un jour, en consultant, une de mes adresses mails, Google m'a fait un signe ! 
Ma boite mail contenait 666 messages !


Serais-je possédé ? Il semblerait !

D'ailleurs, un jour, voulant mettre en ligne mes photos afin de les rendre accessibles, de nombreuses solutions s'offraient à moi et bien sûr, c'est la solution "Googlisante" que j'ai décidé d'essayer : Picasa.

Sans expérience en la matière, j'ai trouvé l'outil facile à utiliser. Il s'agit d'un simple envoi de fichier vers leurs serveurs, aussi, je pense que les interfaces des autres solutions proposant le même service doivent être plus ou moins identiques.

Avant d'envoyer un nombre conséquent de photos, j'ai donc décidé d'effectuer un test de ce service afin d'étudier les différentes possibilités offertes.

NB : Il existe un logiciel téléchargeable gratuitement mais je me suis volontairement limité à la solution web car suffisante à mes yeux.

Ce service gratuit a tout de même quelques "limites" :
- Espace de stockage de 1Go (possibilité d'étendre l'espace de stockage en souscrivant à un abonnement payant)
- Nb d'albums limités à 1000, chacun contenant 1000 photos maxi

Les fonctionnalités :
- Tags
- Légendes
- Géolocalisation
- Partage
- Mise en ligne de Vidéos


ESPACE DE STOCKAGE:
Revenons tout d'abord à l'espace de stockage.

En explorant les divers renseignements liés à ce service, il est indiqué ceci :
Picasa Albums Web offre 1 Go d'espace de stockage gratuit pour les photos et les vidéos. Les photos de taille inférieure à 800 x 800 pixels et les vidéos durant moins de 15 minutes ne sont pas décomptées de la limite de stockage.


Les fichiers d'une taille inférieure à 800 pixels ne sont pas pris en compte dans le calcul de l'espace occupé.  Hum, intéressant !!
 
J'effectue un essai avec plusieurs photos et, effectivement le compteur reste à 0%.
Adopté !! Toutes mes images sont désormais redimensionnées à 800x600 pixels !
Et malgré les 276 photos hébergées à ce jour, occupant un espace disque de 89 Mo (soit 11% des 1 Go) mon compteur demeure toujours à 0% d'espace disque sur le 1Go qui m'a été alloué. Merci Google !!


ALBUMS :
Les albums (dossiers regroupant les photos) sont classés par défaut, par Date de Transfert. D'autres choix de classement sont proposés.
Mais après fermeture de session, les paramètres sélectionnés ne sont pas conservés, probablement parce que je n'enregistre pas les cookies sur mon ordi, je fais attention à ma ligne !! ;-)

Aussi, petite astuce afin de contourner ce problème :
- Une fois dans un album, bouton Actions / Propriétés de l'album :
Il suffit de modifier la date de l'album correspondant afin que l'ordre chronologique corresponde à ce qui est attendu.

  • Tri des photos :
- Il peut arriver que l'ordre de présentation soit différent de ce qui est attendu.
Pour corriger cela : - Une fois dans un album, bouton Organiser : Et sélectionner l'option qui convient.
  

  • Légendes :
- Afin de saisir plus facilement les légendes des photos d'un album, bouton Actions / Légendes présente l'ensemble des photos de l'album avec un zone de saisie pour chacune d'entre elles. Méthode nettement plus rapide afin de saisir un grand nombre de légendes.



PHOTOS :
- Dans l'éventualité où il serait nécessaire d'effectuer des modifications sur les images, il est possible d'effectuer une rotation de l'image mais plus intéressant, un logiciel de traitement d'image est accessible en ligne.
  • Légende : Il est possible d'en ajouter afin de rendre la présentation plus attrayante, (voir Album, si le nb de légendes est conséquent).

  • Tags : Afin d'identifier et de rechercher plus facilement des photos en utilisant des mots clés.
  • Personne : Petite fonctionnalité bien sympathique, il est possible d'identifier les personnes figurant sur une image. Et un clic sur le nom de la personne fait apparaître un cadre sur la photo, entourant ainsi la personne concernée. Petite astuce : Lorsqu'une nouvelle personne est ajoutée, son image "générale" sera celle figurant sur la photo où il a été identifié la 1° fois.
  • Lieu de prise de vue : Lorsque l'on est fournisseur d'outils tels que Google Maps et Google Earth, on ne peut pas passer à coté de la possibilité de géolocaliser ses photos ! C'est désormais chose faite. Vous pouvez indiquer sur un carte l'endroit de la prise de vue. Et si vous avez comme moi, un appareil photo pouvant "géotaguer" les images, le lieu de prise de vue est automatiquement indiqué.
  • Informations sur la photo : Enfin, à destination des photographes, des informations techniques sont également disponibles telles que la vitesse d'exposition, la focale, etc...
Petite astuce : Il est possible de modifier l'image servant de couverture de l'album (photo identifiant l'album). Après avoir ouvert la photo concernée, bouton Actions / Définir comme couverture de l'album.



CONFIDENTIALITE :
Il est bien sûr possible de rendre les albums publics, afin qu'ils soient visibles par tous. Mais ils est également possible de nuancer l'accès aux albums.
En ce qui me concerne, il est nécessaire de disposer du lien de l'album afin d'y avoir accès.
 
Voilà, vous en savez désormais un peu plus sur cet outil, même s'il existe d'autres solutions (FlickR par exemple.), celle-ci me convient et correspond à mon besoin. Donc si certains sont à la recherche d'un service de mise en ligne de photos, vous en savez désormais un peu plus sur cet outil.

mardi 6 septembre 2011

A l'écoute de son corps

Une fois n'est pas coutume, j'évoquerai aujourd'hui un petit "bobo" survenu, il y a de cela quelques jours.
    
Le but de ce billet n'est pas d'évoquer un "bobo" et de se faire plaindre par la terre entière, mais plutôt de fournir un "témoignage" ou exemple de comportement (juste ou non, je laisse cela à votre appréciation).
   
Mardi 30 août, alors que je m'entraînais chaussé de mes Asics (et non de mes Vibram), j'ai ressenti, à plusieurs reprises, de petits tiraillements (un peu comme un blocage) au niveau du gros orteil droit. 
J'ai terminé la séance sans y prêter trop d'importance.
  
Mais au moment de rentrer au bureau, de nouveaux tiraillements sont survenus. Je me suis alors dit qu'il y avait quelque chose.
  
N'étant pas adepte de la consultation immédiate chez le médecin, j'ai donc décidé d'attendre quelques jours afin que les choses s'arrangent  d'elles mêmes. 
Mais la gêne était toujours présente et mon attente "en toute quiétude" n'était guère facilitée par certains articles lus sur différents blogs.

Le mot Blessure commença à s'immiscer dans mon esprit. 
  
Et mon seul neurone ayant pris l'option Médecine, me remonta un terme du tréfonds du tiroir lexical de ma maigre connaissance médicale : Fracture de Fatigue ! (Ben voyons, les médecins font au minimum 7 ans d'études et alors que je me souviens à peine de mes cours de bio, je m'auto-diagnostique ! Faut vraiment que j'arrête de regarder Dr. House !!).
  
Comme d'habitude, je décida de prêter attention aux signaux de mon corps et de patienter quelques jours. 
Mais 3 jours plus tard, aucune évolution. En fait si, la gêne était bien plus souvent présente. Et, comme l'échéance du Paris-Versailles arrive à grand pas, le vendredi suivant je décidai donc d'aller consulter.
 
Verdict du médecin, ce n'est pas une fracture de fatigue !! (A ce moment là, j'ai entendu mon neurone "Médecine" partir en sifflotant l'air de rien...).
Selon lui (le médecin), il s'agit d'une inflammation au niveau du tendon du gros orteil. Et la sanction est de 10 jours sans courir !!
Pour plus de sûreté, je décide d'effectuer le décompte des jours à partir du vendredi, jour de la consultation et surtout jour de début de prise d'anti-inflammatoire.
  
Une petite pause de 10 jours donc. En espérant que cela se résorbe complètement dans ce labs de temps.
  
Voici un donc un petit exemple de comportement devant un signal du corps.
 
Avec le temps, on arrive à interpréter les différents signaux émis, ceux qu'il est possible d'ignorer lorsque le corps n'a guère envie de fournir de gros efforts, et ceux où le corps veut clairement vous signifier quelque chose.

lundi 5 septembre 2011

Fini l'école primaire, maintenant c'est le collège


Alexis a effectué aujourd'hui son entrée en 6° !! Il est maintenant au collège, fini l'école primaire !
  
Je l'aimais bien cette école. Même si elle ne faisait pas 195m de haut, certains signes me faisait l'apprécier.

Clap de fin sur les vacances

 
Et voilà, les vacances sont belles et bien terminées. 
Je termine donc ici la série de billets évoquant nos vacances en Martinique.
   
Alors que nous étions en train de patienter, avant de prendre la voiture en direction de l'aéroport, le soleil, comme pour nous adresser un ultime  au revoir, nous dévoila alors une bien belle palette de couleurs. 
L'occasion rêvée pour nous de nous livrer à une ultime séance photo.
 
Et, nous nous sommes ainsi amusés en parodiant à peine les films de James Bond...
 
Pour le scénario, euh, voyons voir, un coureur amateur longeant des bananiers voit "par mégarde" des trafiquants de drogue remplacer la chair des bananes par leur "poudre". Et, il s'ensuit alors une course poursuite, des explosions, bien sûr, entrecoupée de gros plans afin de bien voir la marque des chaussures Asics, les fameux lacets Xtenex utilisé pour s'accrocher à l'hélicoptère, la montre GPS Garmin servant à détourner et à rediriger les missiles...
  
Avis aux producteurs, si vous cherchez une personne pour le rôle de James Bond enfant, n'hésitez pas...